Une fessée devant la bonne

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il y a 6 ans

Lorsque Philippe et moi fûmes installés dans le grand appartement de la Place des Ternes qu’il avait hérité de ses parents, je me mis à la recherche d’une bonne.

En effet nous travaillons tous les deux et pour entretenir nos 180 m2, il nous fallait à domicile quelqu’un qui fût employé à temps complet. De surcroit l’appartement était assez vaste pour que nous puissions l’y loger commodément. C’est ainsi que je fis la connaissance de Luana.

C’était une petite Portugaise de 19 ans, qui avait peu de références car elle n’avait guère travaillé, mais elle me fut présentée par sa mère qui exerçait elle-même comme concierge dans un autre arrondissement. Luana était une très jolie brune, mince, d’un maintien modeste, réservée et manifestement très bien élevée. Sa mère m’expliqua qu’en dépit de son peu d’expérience, je pouvais lui faire confiance car elle était courageuse, de bonne volonté et apprenait vite. De toute façon, ajouta-t-elle, si d’aventure elle se montrait négligente, ou insolente, ou maladroite, n’hésitez pas à lui donner une bonne fessée : c’est le meilleur moyen de l’aider à se corriger de ses défauts.

Luana avait rougi et baissé les yeux tandis que sa mère prononçait ces paroles et de mon côté, j’en avais été toute remuée et troublée . C’est que tout ce qui touche à la fessée me met en émoi depuis que j’en ai fait l’expérience. Philippe, mon mari, est très dominateur et dès le début de notre mariage, il m’a amenée à me soumettre à ce châtiment. Une fois passée la première surprise, la gêne, la honte, j’y ai pris goût, je dois l’avouer. J’attends ses fessées avec un mélange d’appréhension et de désir. D’appréhension, car elles sont sévères, ce sont de vraies corrections qui me laissent les fesses durablement écarlates, mais de désir aussi car, en dépit de la douleur ou à cause d’elle, je ne sais pas, elles me mettent dans un état d’incroyable excitation.

Et lui aussi : après qu’il m’ait fessée, il se trouve dans des dispositions particulièrement ardentes et la suite qu’il y donne, que nous y donnons, est toujours torride. Il doit y avoir une singulière volupté à châtier ainsi une chair soumise et je suis très désireuse de la connaître. Mais avec qui ? Avec Philippe, c’est tout bonnement impensable. C’est pourquoi la suggestion de la mère de Luana me mit dans tous mes états.

J’embauchai donc la jeune fille qui commença à travailler chez nous. Je dois dire qu’elle me donna entière satisfaction : elle était très propre, soignée et soigneuse, active et courageuse, polie et même déférente, de telle sorte qu’il me fut très difficile de la prendre en défaut comme je le souhaitais afin d’avoir une raison de suivre le conseil de sa mère. J’y parvins enfin un jour où, en faisant les courses, elle oublia d’acheter un ingrédient indispensable à la confection du plat que j’avais prévu pour le repas du soir. Je feignis d’être beaucoup plus fâchée que je ne l’étais en réalité et je lui adressai de vifs reproches qu’elle accepta sans broncher, reconnaissant sa faute et m’en demandant humblement pardon.

Elle était tellement adorable que j’en fus presque désarmée, mais mon désir de goûter à la domination l’emporta et je lui dis : « Je veux bien te pardonner, mais tu dois néanmoins être punie pour ton étourderie. Je vais te donner une fessée ».

Son visage s’empourpra aussitôt et elle baissa la tête, mais sans émettre la moindre protestation. Je m’assis sur une chaise et lui fis signe de s’approcher de moi, puis je lui ordonnai de baisser son jean. Elle s’exécuta aussitôt. Je saisis sur les côtés l’élastique de sa très blanche culotte et je la baissai moi-même. Je contemplai rêveusement son pubis ombreux, puis je la regardai dans les yeux.

Sa respiration s’était accélérée, elle était toute rouge, toute confuse, toute honteuse d’être ainsi nue devant moi. Je lui dis de se coucher à plat ventre sur mes genoux et elle s’y disposa aussitôt, docilement, avec une confiance presque enfantine. Je découvris alors le plus ravissant petit derrière que j’aie jamais vu au monde, bombé, souple, élastique. Je ne pus m’empêcher de le caresser, de le parcourir comme pour en prendre possession avant la correction. Puis je levai la main et claquai à plusieurs reprises ses adorables fesses qui ne tardèrent pas à rosir.

Luana subissait sa fessée avec une parfaite docilité. Je tâchai alors de faire comme Philippe lorsqu’il me corrigeait moi-même. Je la fessai de plus en plus fort, de plus en plus vite, claquant à toute volée ses fesses qui furent bientôt cramoisies. Luana se tortillait sur mes genoux, gémissait doucement, mais jamais elle n’esquissa le moindre geste pour se protéger. Lorsque la main me fit trop mal, je m’arrêtai et la remis sur pied. Elle fit comme une petite révérence et me dit : « Merci Madame, je ne recommencerai plus, je vous le promets ». Émue par sa contrition, je lui caressai la joue et y déposai un baiser. Dans les jours qui suivirent, elle redoubla d’attentions et son comportement fut à ce point irréprochable que je ne trouvai pas le moindre prétexte pour la punir de nouveau.

Une semaine plus tard au bureau, je commis une bourde énorme qui eut de graves conséquences. Philippe et moi sommes tous deux cadres supérieurs dans la même société, mais il y occupe un poste plus élevé que le mien. L’erreur dont je me rendis coupable nous fit rater un contrat qui comptait beaucoup pour l’entreprise. Philippe était fou de rage. Dans le taxi qui nous ramenait à la maison, il ne desserra les dents que pour me dire : « Tu vas voir tes fesses quand on sera rentrés ».

Je rougis v i o l e m m e n t car il avait parlé tout haut et il était impossible que le chauffeur ne l’ait pas entendu. À l’arrivée lorsque nous descendîmes, je payai celui-ci sans oser le regarder en face. Nous montâmes à l’appartement en silence et, à peine étions-nous arrivés dans le séjour où Luana était occupée à cirer un meuble, que Philippe me lança : « Baisse ton jean ! ». Je le regardai, interdite, et, désignant Luana, balbutiai : « Mais, pas devant … ».

Il reprit : « Déculotte-toi immédiatement.

Si je dois m’en charger moi-même, ce sera double ration ». Je croisai le regard de Luana qui me regardait fixement, interloquée et, rouge de honte, je fis descendre mon jean jusqu’en bas de mes cuisses. « Baisse ta culotte ! », m’ordonna Philippe. Comme j’hésitai, il se précipita sur moi et m’arracha ma petite culotte plutôt qu’il ne la baissa, me plia sous son bras et, sous les yeux de Luana qui, à deux mètres de moi avait une vue imprenable sur mes fesses nues, il m’infligea la plus retentissante fessée de ma vie.

Pas une fessée progressive comme celles qu’il me donnait en prélude à nos ébats sexuels, pas une fessée érotique, non, une vraie raclée, une fessée punitive destinée à faire mal et à humilier. Après une bonne trentaine de claques administrées à la volée, il s’interrompit et demanda à Luana de lui apporter une chaise.

Lorsqu’elle la lui eut apportée, il s’assit, me renversa à plat ventre sur ses genoux, et reprit la fessée de plus belle. Ce fut une fessée interminable car Philippe ne se laissa attendrir ni par mes cris, ni par mes supplications, ni par mes demandes de pardon. Je sanglotais, tant sous l’effet de la douleur que de la vexation d’être, à 34 ans, corrigée comme une gamine devant une gamine de 19 ans, ma petite bonne.

Jamais je n’avais été aussi humiliée de ma vie. Enfin la correction prit fin. Philippe me remit debout et partit dans son bureau. Je restai dans le salon avec Luana, toujours déculottée, le derrière en feu, pleurant comme une madeleine. Luana s’approcha timidement de moi et m’aida à remonter ma culotte et mon jean. Puis elle me dit : « Si vous voulez, Madame, je peux vous mettre une crème apaisante ».

Elle me prit par la main et je la suivis dans sa chambre en reniflant. Elle alla chercher un tube de baume dans un tiroir et me désigna son lit. Je me déculottai à nouveau et m’y allongeai à plat ventre. Ses petites mains douces m’enduisirent d’une crème rafraichissante qu’elle s’appliqua à faire pénétrer partout. La fessée de Philippe, quoiqu’extraordinairement sévère, avait néanmoins produit les mêmes effets qu’à l’accoutumée. Aussi, les caresses de Luana jointes à l’excitation sexuelle engendrée par la fessée me secouèrent de plaisir.

Je m’emparai de sa main et la guidai vers les replis les plus secrets de mon intimité et elle ne fit aucune difficulté pour entrer en moi comme je l’y invitais. Quelques minutes plus tard, nous roulions toutes les deux sur son lit, enlacées, plus nues que nues, explorant mutuellement, des doigts et de la langue, nos corps tremblants de désir. Comme je lui suggérai à l’oreille un geste osé dont j’avais envie, elle me répondit : « Oui, madame ». J’éclatai de rire : « Assez de madame ! Tu m’appelles Delphine et on se dit « tu ». Désormais, nous sommes égales ».

Un peu après je lui dis : « L’autre jour Luana, je t’ai fessée pour une vétille. J’ai eu tort. Je mérite d’être punie à mon tour pour cela. Aujourd’hui, c’est toi qui vas me donner la fessée et nous serons quittes ».

Je m’allonge à plat ventre sur le lit. Luana s’assied à califourchon sur moi. Je sens son sexe humide sur mon dos. Elle lève la main et elle prolonge l’œuvre de Philippe. Elle me fesse. Elle me fesse longuement, fortement, tendrement. Mes fesses sont brûlantes et mon sexe inondé. Je jouis sous sa fessée. Désormais nous sommes égales, merveilleusement, délicieusement égales.

Une fessées avec force et fermeté puis une fessées tendre et érotique. Un délice d’émotions.
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